Dans la Tête d'un Cycliste - Extrait du Podcast
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Paris-Roubaix. Rien que le nom évoque des mains endolories, des pavés rebelles, et une météo toujours prête à brouiller les cartes. Mais derrière les images épiques et les visages couverts de boue, se joue aussi une autre bataille : celle de l’innovation.
Guillaume Martin, c’est un coureur pas comme les autres. Passionné de philosophie, auteur de plusieurs livres… Il ne se contente pas de pédaler : il réfléchit, il écrit, il explore. Avec lui, le vélo devient un terrain de jeu pour le corps… et pour l’esprit.
Tu as acheté ton premier vélo, investi dans une belle paire de chaussettes et tu es prêt à franchir le cap ultime : rouler en peloton. Sauf qu’en vrai, l’idée de te retrouver au milieu d’un groupe de cyclistes qui se parlent avec des gestes bizarres t’angoisse un peu. P
Tu viens de te remettre au vélo, tu regardes tes sorties sur Strava avec un mélange de fierté et de perplexité, et là, l’idée te traverse l’esprit : et si je prenais un coach ? Puis, aussitôt, la petite voix intérieure : "Un coach, c’est pour les pros, les mecs qui roulent à 40 de moyenne, pas pour moi."
Dans la quête de progression, le cycliste amateur n’échappe pas à cette grande question existentielle : vaut-il mieux rejoindre un club, s’offrir les services d’un coach personnalisé, ou suivre sagement un plan d’entraînement via une application ?
Quand on pense cyclisme, on visualise l'effort, la vitesse, les longues sorties entre amis. Mais parfois, une invitée indésirable s’invite à la fête : la blessure. Pas toujours spectaculaire, rarement sanglante, souvent insidieuse… Elle s’installe à bas bruit, dans un genou, une fesse, une nuque. Et pour la combattre, il faut d’abord bien la connaître.
Lorsqu’il s’agit de progresser à vélo ou simplement de rouler avec plaisir, on pense souvent à l'entraînement, au matériel ou à la nutrition. Pourtant, un facteur fondamental reste trop souvent sous-estimé : le positionnement sur le vélo. Et pour cela, rien ne vaut une bonne étude posturale.
Lorsqu’il s’agit de progresser à vélo ou simplement de rouler avec plaisir, on pense souvent à l'entraînement, au matériel ou à la nutrition. Pourtant, un facteur fondamental reste trop souvent sous-estimé : le positionnement sur le vélo. Et pour cela, rien ne vaut une bonne étude posturale.
On parle souvent d’entraînement, de planification, de watts gagnés. Mais s’il y a un sujet qui mérite autant d’attention (et souvent pas assez), c’est bien le positionnement sur le vélo. Parce qu’un vélo mal réglé, c’est comme une chaussure trop petite : on peut toujours avancer, mais à quel prix ?
Quiconque a déjà roulé un peu sérieusement sait que le vélo, c’est un sport de liberté, de grand air... mais aussi de frottements, de tendinites et de douleurs sournoises. Car oui, il y a ces blessures bêtes – ni spectaculaires ni glorieuses – qui s’installent doucement mais sûrement jusqu’à gâcher nos sorties dominicales.
Tous les cyclistes — débutants comme chevronnés — en ont entendu parler, certains l’ont même rencontrée brutalement, souvent au pire moment. La fringale, ce mur invisible qui coupe les jambes et fait vaciller la tête, n’est pas une fatalité.
En cyclisme, la fringale, c’est ce mur brutal qui surgit parfois sans prévenir, mettant à l’arrêt même le plus vaillant des coureurs. Pourtant, elle ne frappe pas au hasard : son apparition est souvent liée à des erreurs d’anticipation ou des conditions particulières.
Tous les cyclistes — débutants comme chevronnés — en ont entendu parler, certains l’ont même rencontrée brutalement, souvent au pire moment. La fringale, ce mur invisible qui coupe les jambes et fait vaciller la tête, n’est pas une fatalité.
La course à pied est-elle un atout pour le cycliste ou un piège qui le guette à la moindre foulée ? Si certains coureurs pros affichent des chronos impressionnants en running (comme Tom Dumoulin et son semi-marathon en 1h08), d’autres restent frileux à l’idée d’abandonner la douceur de leur selle pour les impacts du bitume.
La natation et le cyclisme ont un point commun indéniable : ce sont deux sports portés, donc peu traumatisants pour le corps. Pourtant, rares sont les cyclistes à se jeter à l’eau en complément de leur entraînement.
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